Ce que tu dis me met litteralement hors de moi, ça bouillonne au fond j'y croire j'ai le droit de t'embrasser. Et tu dit que tu veux pas me faire souffrir. Putain attend si je t'embrasse 4a entretiens mon espoir que tu puisse m'aimer en retour et cela me ferais que plus de mal. mais comme je n'ai pas envie de t'engueuler se soir je ne dis rien je te laisse même t'endormir, même si moi je n'y parvins pas, demain j'irais voir David. je sais pas encore ce que lui dirais. ou e que je f ferais mais dès demain tu sera en sécurité..

je ne dors que t'es peu, j'ai beaucoup réfléchis. vers sept heure du matin je me lève effleure ta joue de mes lèvres avant d'aller prendre une douche et de me changer. J'attache mes cheveux mais mes lunettes à soleil et prend mon sac. je prend James avec moi on sais jamais. Il est huit heure trente lorsque je sort de la villa. Je vais monter le chien dans le gros 4x4. j'allais pas prend ma petite Audi je suis pas fou je veux pas que le chien me nique mes sièges. Je démarre puis pars en direction du loft de monsieur Jost. je monte les escalier et, arriver au dernier étage je sonne comme un taré. il fini par m'ouvrir, il était en calçon je devais l'avoir réveillé


David Jost – Bill Qu'est que tu fou là

Bill Kaulitz – Hum je sais pas j'avais envie de te voir

Murmurais d'une v voix sensuelle en retirant ma veste la laissant tomber sur le sol, je m'approche de mon producteur et le pousse contre le mur, je me colle alors à lui. Il pose ses main sur mes fesses et moi je l'embrasse de manière sauvage assez longtemps pour qu'il ne se rende pas compte que je le plantais J'enfoncais un couteau de cuisine dans son ventre.


Bill Kaulitz – ça c'est pour m'avoir reluquer dans les cabines d'essayage. et 4a c'est pour Tom !


je ressors le couteau et le replante mais cette fois plus aux, au niveau du coeur. David gémissait mais il fini par tomber sur le sol. je nettois le couteau et le cache a nouveau. J'avais tout prévu. je prend David, le met dans ma voiture et roule jusqu'à la forêt la je passe au moins trois heure a creuser pour l'enterrer, puis ensuite je rentre mais bon tout ça m'a pris jusqu'à deux heures de l'après midi. je suis passé ensuite chez le pharmacien pour des aspirines. je rentre donc à la maison


Bill Kaulitz – J'uis rentré

oh si j'avais été terrifié quand je l'avais blaisser, je me rappelle encore je tremblais Mais j'ai pas oser de montrer que je regrettait ce que j'avais fait, aujourd'hui c'est vingt fois pire, je ne regrette absolument pas de l'avoir mais mais je suis choqué, après tout je viens de tuer quelqu'un pour toi. Mais je sais que si je t'en parle du va me traiter de tarer et le mot merci ne te viendrais même pas à l'esprit. En arrivant à la maison avec James je déglutis et dit que je suis rentrer. Je passe directement à la cuisine prendre un verre d'eau et trois aspirines. James demande de quoi manger et je lui mais quelque croquette, mais pas trop je ne voulais pas qu'il s'empâte trop. Je te dis bonjours quand tu débarques à moitié à poile et vais m'assoir sur le canapé essayant de penser à autre chose qu'on yeux de l'homme que je venait de tuer, des yeux grand ouverts, totalement affolé et les trait tiré par la peur. je frissonne puis secou la tête. J'ai honte d'avoir fait un truc pareil mais en même temps c'était pour toi. Lorsque u redescend je te souris


Bill Kaulitz – Tom je...enfin tu...Tu n'as plus a t'en faire pour moi à cause de David. Ne tinquiète plus.


Avouais-je en me levant pour venir te faire un bisous Je me sentait vraiment très très mal un jour je vais craquer et chialerais pendant des journée entière a force de tout cacher.


Bill kaulitz – Tu a bien dormis sinon ?


Demandais-je après avoir passer à al cuisine pour reprendre un verre d'eau que je bois d'un traite je m'assois ensuite sur l plan de travail.

la douleur à la poitrine. je me retourne vers toi et hausse les épaule, mais jenny commence a me grogner ce qui me fait sursauté. non je lui avais rien fait du tout mais j'aime pas qu'elle me grogne ça me fou les boules quoi. je pose mon verre d'eau dans l'évier et m'assois sur une chaise. juste à côté de toi je me sentait pas très bien


Bill D. Kaulitz – Tom, écoute tu ne reverra plus jamais David. Ce matin je me suis lever tôt et je suis aller chez lui au début je voulais le virer mais en voyant , enfin ne le voyant j'ai...péter un plomb et je l'ai planté


je sanglotait en parlant, je regrettait pas mon geste mais j'étais très choqué de moi-même d'avoir était capable d'une tel atrocité cela ne me ressemblait pas et là je craquait totalement j'étais parcouru de tremblement et je sanglotaient comme pas permis. Mes nerfs lâchaient, simplement j'en pouvais plus de de jouer au fort car au fond je ne le suis pas même si toi tu a pus t'en convaincre. J'avais besoin de mon grand frère là. ça fait longtemps que je ne l'ai pas eut près de moi pour qu'il me console vraiment. Je pris ses main entre les mienne et les serra en posant mon front sur la table.


Bill D. Kaulitz – Si t'a ressentis ce mal..c'est...c'est que je l'ai...tu...tué et...et si Jenny me..me grogne c'est parce que je sens le sang


Avouais-je en tremblant de tous mes membre. je serre tes main dans les miennes en hocktant un peu. je relève la tête et te regarde avec mes yeux tour larmoyants


Bill D. Kaulitz – Pardon..Je...Je voulais te soulager...te rendre heureux...

A la base, je ne voulais pas t'en parler car je savais au fond que tu ne réussirais pas à comprendre, mais en même temps, te le cacher maintenant, alors que tu était en face de moi, c'était pour ainsi dire impossible. Je pensais être plus fort. Mais je comptais trop sur mon enveloppe de dignité dans laquelle que me cacher depuis environs cinq ans maintenant. Et aujourd'hui cette carapace a décider de se fendre et je n'ai donc pas réussit à te mentir, je me suis assis en face de toi te prenant les main, cela annonçait quelque chose de très très important. Et au fond j'espérais sincèrement que tu comprendrais mon geste. mais rien quenéni tu n'a pas compris tu était presque en train de t'énerver même. Tu dégage des main des mienne me laissant sans défance, je ne me suis jamais sentit aussi seul même toi tu ne me comprenais plus, j'étais perdu, je me sentait abandonner de tous, complétement largué. Pourtant je restais persuadé que j'avais fait ce qu'il fallait, pour toi et pour moi.. je mets une main sur ma bouche, ta réaction me blessais atrocement. je me laisse partir en arrière m'adossant au dossier de la chaise. je suis parcouru de sanglots impossible à contrôlé


Bill Kaulitz – J'ai fait ça pour toi...tout comme toi tu t'es laisser marcher dessus pour moi !


Dis-je avant de me lever Oui j'étais en colère, et surtout triste et blessé. Parce que tu ne te rendis pas compte que je viens de foutre en l'air ma vie t mon équilibre psychologique pour toi. la taule c'est rien...mais je vais devenir cinglé. je ne serais plus jamais le même tout a changer au moment ou il fut enterrer loin de tout. Désormais je ne suis que l'ombre de moi-même je ne suis plus heureux, plus vraiment et toi bien sûr tu n'aide pas a faire passer la pilule en me rejetant comme tu l'a fait, c'est en tout cas ce que j'ai ressentis.

Après m'être lever je pousse la chaise contre la table en essuyant négligemment ma joue gauche. . je hausse les épaule puis sort dans le jardin, je vais tout au fond derrière le cabanon ou l'on mettait les produits pour l'entretiens de notre piscine. Je ramène mes jambes contre mon torse posant mon menton sur mes genoux. Le regard vide de toute expression, je ne savais plus quoi faire, et je restai là derrière mon cabanon jusqu'à ce que Georg me prenne de force sur ses épaule comme un sac de patate et m'oblige à me faire potable pour l'interview. Gustav m'aida. Il ne savais pas pourquoi je déprimais il pensait sans doute que je m'était disputé avec toi c'est le cas en effet mais bon il n'en connait pas la cause. Lorsque je fus coiffé et maquillé Gustav me fi descendre et notre van nous attendaient devant chez nous. Comme mon habitude j'entre le premier pour aller tout au fond je pose ma tête contre la vitre teintée sans rien dire.

Georg m'avais pris sur ses épaule car je refusais de bouger. J'avais pas le force de me débattre avec lui donc je me laisse porter jusqu'à ma chambre. Ou Gustav m'attend avec un café à la vanille pour me réveiller un peu. je le bois parce que j'adore ça il m'avais choisi des fringue, mais avec mon esprit de contradiction j'en choisis d'autre. Je me coiffe plus ou moins et me maquille à la vas vite. Gus' me fous de la poudre car j'ai un teint livide puis il me fait descendre. Le van klacxonne alors car nous allions être en retard. J'ouvre alors la porte enfilant mes lunettes noir. je savais que ma carapace était brisée pour de bon mais je devais faire de mon mieux pour faire bonne figure.. J'ouvre la portière coulissante et je vais m'installer comme d'habitude tout au fond. je pose ma tête contre le vitre teinté regardant à l'extérieur et soupirant. je fini par ramener mes jambes contre moi attendant que nous démarrions, mais je t'entends dire que tu n'ai pas bien et tu sors du van comme une furie pour rentrer à la maison, en temps normal je serais venu avec toi mais là...non.J'en voyais pas l'intérêt Gustav soupira en fermant les yeux et Georg ouvrit un bouquin. Ouais c'est clair là on sera en retard, mais le bon côté des chose c'est que David ne gueulera pas.

On attend. Cinq minutes, dix minute puis Gustav Péta un fusible et me demanda d'aller voir. je sortis don et montais dans la maison et j'ouvre la porte de la salle de bain sans gêne. Ce n'était que toi de toute façon. et t'était malade je risquait pas de voir des chose que je ne devrais pas. je m'approche en m'accroupis près de toi.



Bill Kaulitz – Attends je vais te donner quelque chose contre les nausées


Dit-je avant de me lever et fouiller dans notre pharmacie pour te trouve des petite pilules rose contre les maux de ventre et les nausées. je te tend la boîte de pilule et te relève en te donnant un petite tape sur l'épaule.


Bill Kaulitz – Ressaisis toi je t'en prie j'en peu plus de devoir jouer le grand frère raisponsable . je sais pas faire ça et j'ai l'impression de couler là.


Murmurais-je sur un ton suppliant en caressant le haut de ton bras. je ne te laisse pas répondre. et te dit qu'on t'attend dans al voiture. et donc je redescends.

Non, non et non je ne voulais pas que tu reprenne ton masque je voulais juste que tu arrête de te reposer sur moi j'ai pas l'habitude et j'ai l'impression que je vais crever si tu me laisse ainsi te porter et te protégé, je suis près a être blesser pour toi mais je ne suis pas prêt a ce que toi tu me blesse alors que je t'aide. C'est juste ça. Je remet mes lunette fumée en entrant dans le van Gustav me demande si ça va je lui fait que oui et que tu n'allais pas tarder, et en effet tu ne tarda point. En arrivant tu dit que tout allait bien et que tu allais assurer à l'interview. Moi je fait mine que ça va en souriant. ça allai être dure, très dur de en pas craqué sous les questions personnelles. et Je suis toujours obliger de répondre pour le groupe et ça m'énerve, j'aurais envie parfois de faire comme Gusav, me taire et sourire.Ou faire semblant. juste jouer le potiche durant toute l'interview quoi.

Je t'écoute alors et tourne la tête vers toi. Je souris et prend ta main. avant de venir te faire un bisou sur la joue. Ça me soulageai quand même je serrais ta main très fort, Je pense que là tu devais te rendre compte que je ne suis pas un mec sans coeur comme je le montre souvent. Et que j'ai besoin de toi. Car ile st vrai que souvent je ne te montrai pas beaucoup mon affection. A cause de tous ses sentiments bizarre. Mais ceux-ci finirons pas s'en aller vu que je n'ai aucune chance avec toi.


Bill Kaulitz – Merci



Murmurais-je alors que nous arrivions au studio. Il y avais un horde de fan devant les portes.. je me prépars a devoir signer tout et n'importe quoi. Notre garde du corps nous donne des stylo avant de nous autoriser à sortir. Gustav sort le premier, toi en deuxième Georg en troisième et moi en dernier je signe rapidement puis rentre dans l'enceinte du studio ou on passe tous au maquillage, putain je suis pas bien. mais je en le fait pas savoir je me laisse maquiller avant qu'on nous installe dans un ordre précis sur les siège en cuir pour l'interview. C'était Georg a droite, moi à côté, toi près de moi et Gustav a Gauche. On me donne le micro. je me met a jouer avec et te regarde


Bill Kaulitz – Tu peu pas prendre ma place s'il te plait j'ai pas le courage


Murmurais tout bas pour que personne d'autre que toi ne m'entende.

Eh bah voilà génial tu fait la gueule, je le remarque car tu monte le son de ton ipod. Tu fait la gueule parce que je te demande un peu de soutiens ! je ne te dit pas non plus d'arrêté d'avoir besoin du miens, décidément tu m'énerve et on s'éloigne de plus en plus et ça me fait un mal de chien. Si seulement...si seulement on n'avais pas été célèbre. Dans la salle de maquillage je me laisse triturer les joues, les yeux les cheveux je me laisse faire dans rien dire alors que d'habitude je fait des commentaire en le disant que je ne voulais pas comme ça. Mais là rien que dalle. Lorsque je suis prêt je vous rejoints sur le plateau et mon me donne le micro, m^ais je peux pas alors je te demande de le faire. Mais je sais que tu le fait limite par obligation ce qui me rend encore lus dingue. je serre le poing et Georg mais sa main sur la mienne pour me calmer.

Lorsque l'interview commence bah c'est pas trop gênant on parle de musique mais lorsque que la journaliste nous demande comment ce passe notre collaboration avec David, ça ce corse et moi je péte un fusible j'en peu plus je veux rentrer chez moi en Allemagne je veux que maman me fasse un câlin j'ai envie de partir et j'en ai plus rien a foutre. Je prend alors le micro de ta main.


Bill Kaulitz – Oui David et notre papa adoptif on l'adore plus que tout.néanmoins...veuillez m'excuser j'ai rien a faire ici


je donne alors le micro à Georg je me lève et passe devant tout le monde pour retourner dans les coulisses. je prend mon sac. Et je sort sans garde du corps ni rien je passe a travers la horde de fan sans trop de dommage. Bientôt on verra partout "Missing Bill kaulitz" xD Non mais sérieux j'en peu plus.

Rentrer à la maison c'était mon objectif. Oui, fuir, toujours fuir c'est ce que je fait de mieux car en fiant j'arrive a me reconstruire, C'est comme un animal blesser. Il fuis pour ce cacher. il pense ses blessures et ensuite il est plus fort. je marche rapidement je sais que mes fan me suivent mais comme je suis seul il n'y en a pas des masses. Mais j'entends des hurlement donc je parie que c'est toi qui sors suivie de près pas trois de nos garde du corps. Mais je ne m'arrête. En même temps en quelque enjambée tu me ratrappes tu me prend par la poignet pour me retourner. je t'écoute avant de me tirer les cheveux. Avant de balancé mes lunette parterre. Super les fans allaient assister à un pétage de fusible en directe. Enfin c'est toujours le même qu'il y a trois minute mais là je vais l'exteriorisé


Bill Kaulitz – Tu te rend compte que tu ne me comprends plus ?! Tu le remarque ça ? Et moi non plus je sais pas et ne te comprends plus. Déjà j'ai été blessé lorsque tu a cesser de t'ouvrir à moi et ça durant 5 ans. Moi ce que je veux c'est la relation qu'on avais AVANT TOUT ÇA ! Tu était mon grand frère et tu me consolait mais tu avais besoin de moi aussi javais l'impression de t'être utile. sans pour autant avoir l'impression que je te porte sur mes épaules ! Je veux plus de masque merde JE VEUX MON FRÈRE !


Je te regarde avant de me laisser tomber par terre. je m'assois en tailleurs en baissant la tête et en essuyant mes yeux qui n'ont pas cessés d'être humide depuis se matin.. je renifle puis te regarde J'suis épuisé j'en peu plus et puis en plus c'est presque une torture d'être avec toi a cause de mes sentiments qui n'ont pas encore faiblis. Je me relève mais j'ai des vertige ce qui fait que je failli retombé en arrière. C'est ça de rien manger de la journée aussi --'


Bill Kaulitz – Je..j'veux pas de blesser Tom juste que tu saches ce que je ressens aussi. depuis cinq ans !

Aaaaaaaaaaaah mais je vais m'arracher les cheveux si ça continue. je me tape assez violemment le tête contre mes genoux que j'avais relever contre mon torse en serrant mes jambes. . mais tout était confu dans ma tête en plus su mélangeais sentiments amoureux et besoins fraternels. je tremble de rage en pleurant comme une vrai petite fille. D'ailleurs les fans, les vrai fan se calme ne comprenant pas ce qui m'arrivais je sentait les flash sur moi. j'avais honte je me sentait tout démuni. Tout le monde me verra faible et il ce dirons que je ne suis qu'une merde.. je me relève ensuite et suis obliger de m'appuyer contre le mur en brique rouge d'un bâtiment crasseux, je tiens quasi plus debout.


Bill Kaulitz – Mais arrête de tout mélanger je te parle pas de mes sentiment envers toi je te parle de mes besoin. même avant ton masque que comme tu dit tu savais me consolé et moi je savais faire pareille on était égo tout les deux. Après durant cinq ans je me suis senti inférieur a toi et maintenant du jour au lendemain que veux que se soi moi qui soi supérieur. Mais tu vois, moi je peu pas car j'ai pas à l'être. Et d'ailleurs je t'interdit, tu entends je t'interdit de redire une seule fois que mes sentiments pour toi ne sont pas sincère parce que toi t'en sais rien tu sais même pas ce que c'est que l'amour !


Bon moi je voulais partir mais si je lâche mon mur je risque de tombé j'ai des monstre vertiges je tiens quasiment plus debout. C'est une journée de dingue que j'ai vécut et j'en peu plus je veux rentré chez moiiiiiiiiii A Loitsche Avec maman et Gordon La ou je peu être moi même quoi. Mais en même temps je ne peut être moi-même que si tu es auprès de moi.

C'est définitif on n se comprend plus. Nous étions trop loin pour qu'on nous entendre mais on nous voyais très bien. Mais j'en avais marre j'essaye de t'expliquer et tu ne comprend pas je peu pas faire mieux j'ai envie qu'on soi égaux j'ai envie de t'aider a passer outre ce que tua endurer pendant cinq ans et moi j'ai envie que tu m'aide a oublier ce que j'ai fait ce matin. je ne parle même pas de l'amour que j''éprouve pour toi je sais même pas pourquoi tu a mis ça sur le tapis car ça n'a servis a rien a part a nous déchirer davantage et à me faire encore plus souffrir. Je ne t'ai jamais demander de te faire violer pour me sauver, si tu m'en avais parler aussi au lieu de me laisser dans l'ignorance on des frère merde. Mais je ne dit rien je trouve ça injuste et tu dit que je suis égoïste mais tu ne t'es pas regarder. Regarde toi tu te la joue martyre oui tu t'es fait violé, oui c'est grave mais merde t'aurais dus me parler avant aussi. je te laisse partir sans rien dire dans le van je finis par voir Gustav et Georg monté également et mon garde du corps bien me chercher mais je refuse de monter Je refuse catégoriquement C'est mon petit caprice. Il est donc obliger d'appeler un autre chauffeur il amène une autre voiture pour me transporter. Mais avant Il m'aide a aller jusqu'à van quand même, j'ouvre la porte coulissante et te regarde


Bill Kaulitz – Une dernière chose balaye devant ta porte avant de me faire de reproches et vérifie si toi même tu n'a pas les même défaut. Mais je continua t'aimer comme un dingue pu importe qui tu es. mais je pense que...avant qu'on se revois toi comme moi avons besoin de savoir qui nous sommes


Sur ce je referme la porte et la seconde voiture qu'il n'était pas un van mais une mercedes me pris au passage J'ai besoin d'une pause sinon je m'en sortirais pas j'ai besoin de changer radicalement d'aire. De me retrouver aussi et surtout de trouver le moyen de me calmer. Tu allais me manquer, beaucoup me manqué mais si je veux te garder auprès de moi après j'ai pas le choix, on a pas le choix il faut qu'on se trouve nous-même pour mieux retrouver l'autre après. C'est mon point de vu en tout cas. Néanmoins je demande au chauffeur de me ramener à la maison pour si jamais tu ne voulais absolument pas que je parte un ou deux moi. Mais je pense de connaitre assez pour savoir que même si tu aime me contre dire tu sera d'accord avec moi là dessus.


[FIN ?]